Une révolution en marche dans la lutte contre le cancer du sein
dans Communication
Les chirurgies du cancer du sein en ambulatoire offrent à La Clinique du Palais à Grasse, une nouvelle spécificité
Un plus médical et psychologique pour les femmes
Ce mode d’hospitalisation a montré plusieurs avantages. À geste chirurgical égal et sans engendrer de surrisque, la chirurgie ambulatoire limite les complications liées à une hospitalisation conventionnelle et en particulier le risque infectieux. Elle permet un meilleur vécu psychologique du geste chirurgical suite à l’annonce récente du diagnostic de cancer. Enfin, elle génère un sentiment de satisfaction du patient et de sa famille en maintenant le lien social pour faire face à la maladie.
La chirurgie mammaire en ambulatoire, c’est possible.
La chirurgie en ambulatoire ou «en un jour» consiste à être hospitalisé le jour de son intervention et de sortir quelques heures après celle-ci, en toute sécurité. Elle est possible à La Clinique du Palais à Grasse pour certaines chirurgies des cancers mammaires, tels que tumorectomies, les oncoplasties (association de l’ablation de la tumeur avec une chirurgie plastique qui permet de garder la forme harmonieuse du sein) avec ou sans geste axillaire (ganglion sentinelle ou curage). De même, certaines interventions de chirurgie reconstructrice peuvent être réalisées en chirurgie ambulatoire tels que les changements de prothèse mammaire, les lipomodelages (gestes de corrections plastiques effectués par injection de graisse) ou les réfections d’aréole et de mamelon en phase finale de la reconstruction.
La chirurgie ambulatoire n’est pas obligatoire mais est proposée dès que cela est possible, en accord avec la patiente.
Quatre principales étapes caractérisent le parcours en chirurgie mammaire ambulatoire :
- une évaluation préopératoire
- la phase opératoire
- la phase d’autorisation de sortie le jour même
- le suivi de la patiente dans les 24 heures
Le lendemain de l’intervention, la patiente est contactée par une infirmière afin de s’assurer des bonnes suites opératoires (appel du lendemain)
Pour plus d'informations, vous pouvez aussi consulter l'article paru en janvier 2016 dans Nice Matin.